il est strictement d'interrompre volontairement la prière obligatoire, mais cela n'implique le d'aucune expiation. Si on doute d'avoir bien accomplit ou non sa prière, il ne doit pas faire attention au doute et s'en tenir au fait que sa prière a été correcte et valable. Raison pour laquelle la prière ne doit aucunement être interrompue dans le but de recommencer; et s'il arrive qu'il y ait interruption de la prière, cela n'implique pas qu'il doit donner une expiation quelconque. Sachez qu'il est formellement interdit d'interrompre volontairement la prière, mais pour protéger ses biens et éviter tout préjudice d'ordre financier ou d'ordre physique, l'interruption de la prière n'a aucun problème.[1] En cas de doute, il faut appliquer les dispositions mentionnées dans le code du musulman au sujet des différentes formes de doutes dans la prière.
[1]- Réponse donnée par le bureau du guide de la révolution islamique sur la question et enregistrée dans le code du musulman publié sous la question 1159, première édition, les éditions Mihrab, printemps 1366