Littéralement le khoms signifie le cinquième et dans le vocabulaire juridique isllamique il s’agit de verser le cinquième du revenu des activités agricoles, industrielles, commerciales, tout ce qu’on gange à travers les recherches ou les services qu’on offre (employé, ouvrier…)
Le khoms est une obligation islamique et le saint coran l’a placé à coté du jihad.[1] Le coran explique son importance en montrant le lien qu’il a avec la foi : « Sachez que sur tout ce que vous prifitez le cinquième revient à Allah, son Messager, les proches du prophètes, les orphelins, les déshérités et les voyageurs en détresse, si vous avez la foi »
Les jugements pratiques sur les obligations importantes telles que le jeûne, le hajj apparaissent dans très peu de versets coraniques. C’est le cas aussi avec le khoms dont les détails ont été confiés au prophète et ses successeurs.[2]
 Ainsi les guides religieux se sont inspirés de ce qui ressort des versets et des hadiths pour déclarer;
Le khoms s’applique sur sept choses : 1 - les revenus et les profits acquis par le travail, 2 – Ressources minières, 3 – Le trésor, 4 – Les biens licites mélangés aux biens illicites, 5 – les objet précieux extrait de la plongée dans la mer, 6 – Les butins de guerre, 7 – le terrain acheté à un musulman par un mécréant vivant dans un Etat islamique.[3]
Mais le khoms de revenu est le cas le plus soumis et les jurisconsultes ont donné cette explication :
Chaque fois qu’on tire un profit du commerce, de l’artisanat, de l’industrie ou d’autres sources de revenu, il faut verser le khoms en cas d’excédent de dépense personnelle et familiale. Il faut évaluer le cinquième et le donner pour des dépenses particulières.[4] Et pour savoir dans quels cas il faut dépenser ce khoms, il faut consulter le thème 690 (versement de khoms et autorisation des guides religieux) dans c site.
En guise d’exemple : si un employé touche son premier salaire le 31 janvier et fait des dépenses personnelles et familiales normalement toute l’année jusqu’au 31 janvier prochain. Si à la fin il ne reste rien de son revenu, il n’est pas tenu de verser le khoms. Mais si au bout de l’année il lui reste encore de l’argent malgré toutes les dépenses annuelles (même si c’est sous forme d’épargne en banque), il doit retirer le cinquième et le verser au bureau du guide religieux à qui il se réfère afin qu’il se charge de le dépenser où il faut.
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