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L’avis des sources d’imitation sur le khoms du capital est suivant :
Celui qui s’est procuré un capital et s’il en paye le khoms, il sera incapable de commencer le travail lui permettant de gagner sa subsistance, doit-il payer le khoms(le cinquième) de ce capital ? Toutes les sources d’imitation, sauf l’Ayatollah Vahid et l’Ayatollah Safi, sont d’avis que si quelqu’un se trouve dans l’incapacité de gagner sa vie, en cas du paiement (même par étapes), du khoms sur le capital, il ne lui incombe pas d’en payer. 1 [1]L’Ayatollah Safi et l’Ayatollah Vahid sont d’avis qu’il y a un khoms à payer sur le capital. 2[2] L’Ayatllah Nourri, l’Ayatollah Tabrizi, et l’Ayatollah Bahjat, le khoms n’appartient pas au montant du capital indispensable pour gagner sa vie et assurer ses besoins, mais le khoms appartient au montant qui dépasse besoins. 3[3] Cependant le khoms n’appartient pas à ce terrain si vous l’avez achetez avec un argent dont vous avez payé le khoms, ou si vous l’avez acheté après l’année fiscale, ou si vous le vendez avant la fin de la prochaine année fiscale. Par contre, le khoms appartiendra au bénéfice provenant de l’achat du terrain, si vous le gardez jusqu’à prochaine année fiscale.
[1] Imam Khmeiny, Istifta'at, t. 1, question 35, Makarem, Istifta'at, t. 2, question 543, Fazel, Jama’ al-Massa’el, t. 1, question 765, Sistani Minhaj al-Salihin, t. 1, question 1219, Sistani al-Massa’el al-Muntakhabah, question 588, Bureau de l’Ayatollah Khamenei.
[2] Bureau de l’Ayatollah Safi et de l’Ayatollah Vahid.
[3] Nouri, Istifta'at, t. 1, question 271. Bahjat, Tozih ul-Massa’el, question 1401, Tabrizi Kitab al-Khoms, question 32.